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Nombre de bonnes réponses :
Faux, l’identité de genre n’a rien à voir avec l’orientation sexuelle d’une personne. L’orientation sexuelle demeure un concept complètement différent. Elle se définit comme l’attirance physique ou émotionnelle pour une personne de même sexe (homosexualité), du sexe opposé (hétérosexualité) ou sans égard à son sexe (bisexualité ou pansexualité).
Faux, aucun type d’éducation et aucune pratique parentale ne peut influencer ni l’identité de genre ni l’orientation sexuelle d’un enfant. Elles relèvent toutes deux de l’inné.
Faux, contraindre les enfants à faire uniquement des activités « associées à leur sexe » (exemples : grimper aux arbres, faire du ballet, tricoter, apprendre la mécanique automobile, se chamailler, se maquiller), c’est diminuer leurs chances d’intégrer toutes ces compétences.
Faux, l’enfant est influencé par son environnement et ce qu’il observe. Il souhaite les jouets auxquels il est exposé : chez ses grands-parents, à la garderie, chez ses amis, à la télévision, dans les médias, dans les rayons des magasins. On désire généralement ce qu’on connait déjà. (CPP, 2007)
Vrai, il est faux de croire, par exemple qu’un garçon s’intéressant aux princesses et aimant le vernis à ongles se perçoit comme une fille. Les intérêts marqués d’un garçon pour les activités supposées comme « féminines » par la société ne présument en rien non plus son homosexualité. Manifester des comportements conférés au sexe opposé demeure tout à fait courante chez les enfants et ne sont aucunement lié au genre auquel ils s’identifient profondément.
Vrai, une éducation genrée pourrait amener l’enfant à vouloir entrer dans une case, même si celle-ci ne reflète pas qui il est, et cela afin de ne pas se sentir jugé, rejeté ou même de décevoir. Il risque donc d’adopter un comportement en lien avec ce qu’on attend de son sexe plutôt que de développer son plein potentiel et sa personnalité unique.
Vrai, car ce type d’éducation valorise davantage les femmes, et diminue la pression du pouvoir des hommes. De plus, il aura moins tendance à vouloir catégoriser le monde dans des moules déjà établis, il sera ouvert à la diversité, car la diversité sera la norme.
Vrai, comme une éducation égalitaire sans stéréotypes de sexe ou de genre enlève l’idée des canevas de sexe, la diversité ne sera plus perçue comme marginal.
Vrai, en grandissant, ne pas répondre aux stéréotypes sexuels attribués à son sexe, rime souvent avec le sentiment d’être différent, parfois même d’être exclus socialement; des conséquences peuvent survenir sur plusieurs plans, dont l’estime de soi, les choix scolaires et professionnels, la vie affective et amoureuse.Une approche éducative non genrée offre la possibilité à l’enfant de définir par lui-même son identité et construire sa propre personnalité selon ses aptitudes et ses intérêts, sans craindre le jugement extérieur.
Faux, les jouets, les livres et les émissions de télévision destinés aux enfants sont des sources importantes de transmission des stéréotypes sexuels. Ceux-ci suggèrent souvent aux filles des rôles liés aux responsabilités familiales, aux tâches ménagères, è la cuisine, aux soins aux bébés et aux animaux, à l’apparence. Quant aux garçons, nombreux sont les jeux d’exploration, de découverte et d’aventure qui leur sont proposés.